On retrouve ici la belle universalité des récits collectifs dont on peut parfois suivre les pérégrinations. Sur les mythes se sont greffés mille et un récits qui se sont diffusés, puis enracinés en d’autres contrées où ils se sont fixés en écotypes et transmis à nouveau. Ce qui permet aujourd’hui de dessiner une véritable « écologie des contes » pour reprendre le titre de l’article de Jean–Loïc Le Quellec dans la partie magazine, où vous découvrirez aussi les « envoûtantes complaintes » de Michel Faubert, nées d’un univers sombre, mystérieux et étrangement beau.
Nous tenons à remercier très chaleureusement Chantal Grimm qui a dirigé ce dossier tout empreint d’airs intemporels qui n’ont pas fini de flotter dans la mémoire de tous.
Alors, en avant la musique, place à la chanson traditionnelle… et à la lecture !