Licencieux, paillards, érotiques, amoureux, comment qualifier ces contes que d’ordinaire l’on situe, en géographie humaine, au-dessous de la ceinture ? La profusion même des qualificatifs possibles témoigne d’une gêne quasiment physique. Au mieux, ces contes-là sont considérés comme négligeables, au pire comme scandaleux, en gros comme ces nourritures excessives que déconseille le bon goût des diététiciens de l’esprit. Pourquoi donc leur consacrer un dossier ? Que diable, n’est-il pas des sujets plus aimables, plus exaltants, plus nobles ? Sans doute. Plus importants qu’on ne le croit, plus instructifs, plus dignes de notre intérêt ? En vérité, peut-être pas.
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